Lors de la révolution industrielle, l’exploitation devint l’un des plus grands sites producteurs de maïs de la région, de nombreuses marchandises produites dans l’actuel gîte étaient exportées vers l’Espagne et l’Atlantique, principalement du bétail et des céréales.
Après des décennies d’activité, la propriété fut frappée en 1918 par la grippe espagnole, apportée à Bordeaux par la force expéditionnaire américaine. Le virus décima la population de Sainte Elisabeth, et, suite à la faillite de la famille Decassan, le domaine tomba à l’abandon. Le gîte devint ainsi une propriété publique appartenant à la commune.